Réception en l'honneur des boursiers Excellence-Major au palais du Luxembourg
Ouvrant la cérémonie, le sénateur André Ferrand a accueilli avec chaleur tous les participants, leur souhaitant « bienvenue au Sénat, toujours heureux d’accueillir les amis de la France et les acteurs de l’enseignement français à l’étranger dont le dynamisme et la qualité ne se démentent pas. »
Anne-Marie Descôtes, directrice générale de la Mondialisation, du Développement et des Partenariats (DGM) au ministère des Affaires étrangères et du Développement international (MAEDI), a ensuite rappelé toute l’importance de cette cérémonie, « la deuxième du genre ». La première édition de cette soirée d’hommage aux boursiers Excellence-Major avait en effet eu lieu au Quai d’Orsay en 2013, à l’invitation de Laurent Fabius lui-même, le ministre étant très attaché à « construire des relations de long terme avec des alumni qui honorent la France de leur amitié. »
Hélène Farnaud-Defromont, directrice de l’AEFE, a souligné que les boursiers Excellence-Major, « à qui le monde est ouvert », « incarnent le projet porté par l’enseignement français à l’étranger » ainsi que « l’attractivité de l’enseignement supérieur français ». Au nom de l’Agence, elle les a remerciés de leur choix, fait très jeunes, de venir en France juste après l’obtention du baccalauréat pour mener un projet d’études exigeant.
Est ensuite intervenu Pierre Marchadier, vice-président Corporate Communications de Dassault Systèmes, leader mondial dans les logiciels de conception en 3D, entreprise peuplée d’ingénieurs de 87 nationalités différentes au service des bureaux d’études de nombreux secteurs. Il a assuré aux boursiers Excellence-Major que leur profil était très recherché par les entreprises ouvertes à l'international. « Chers futurs collègues », a-t-il commencé avec humour, avant de poursuivre en mettant en évidence tous les atouts de leurs parcours :
- la solidité de leur formation,
- leur maîtrise de plusieurs langues,
- leur double culture,
- leur ouverture d’esprit et leur capacité à prendre des risques calculés,
- leur propension à penser « mondial » avec un attachement à la France et une part de French Touch, une « patte » particulièrement appréciée dans les domaines du digital, de la technologie, de l’art de vivre et de la création notamment.
Lors d’un moment très convivial dans les magnifiques salon de Boffrand du palais du Luxembourg, tous ces jeunes talents ont ensuite pu échanger entre eux et avec des élus, des acteurs du monde de l’entreprise, des établissements d’enseignement supérieur et de la diplomatie. De futurs collègues ?