Enseignement supérieur

Inauguration d’un cursus d’ingénierie post-bac de l’université UTC dans les locaux du lycée français de Valparaiso (Chili)

Mis à jour le
18/03/2014

Le mardi 11 mars 2014, au lycée Jean-d’Alembert de Viña del Mar, dans la région de Valparaiso, Hélène Conway-Mouret, ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères, a inauguré le « tronc commun d’ingénierie » : un cursus en deux ans permettant aux bacheliers issus de lycées français à l’étranger de poursuivre des études d’ingénieur dans le réseau des universités de technologie (UT) en France ou dans une université partenaire au Chili.

Le coupé de ruban

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Geste inaugural accompli par Alan Storck, président de l’Université de technologie de Compiègne(UTC), Hélène Conway-Mouret, ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères, et Ignacio Beláustegui Contreras, président du comité de gestion du lycée. © Lycée Jean-d’Alembert

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Discours ministériel

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Hélène Conway-Mouret, prononçant son discours inaugural, et la première promotion d’étudiants du tronc commun d’ingénierie à Viña del Mar. © Lycée Jean-d’Alembert

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Accueil des visiteurs par les élèves

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Les élèves de l’établissement scolaire forment une haie d’honneur aux visiteurs venus inaugurer la structure de formation universitaire. © Lycée Jean-d’Alembert

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Les acteurs du projet

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Les premiers étudiants du tronc commun d’ingénierie et, de gauche à droite : Pablo Villarino, directeur adjoint de GDF-Suez Chili, Marc Giacomini, ambassadeur de France au Chili, Hélène Conway-Mouret, ministre déléguée chargée des Français de l’étranger, Alain Storck, président de l’UTC, et Pascal Dumoulin, proviseur du lycée Jean-d’Alembert. © UTC

Les premiers étudiants du tronc commun d’ingénierie et, de gauche à droiteÂ...

À l’occasion de sa visite officielle au Chili où elle représentait la France à la cérémonie d’investiture de la présidente Michelle Bachelet, la ministre déléguée a inauguré le nouveau campus de l’Université de technologie de Compiègne (UTC) hébergé par le lycée Jean-d’Alembert. Elle a salué ce dispositif de formation innovant, fruit d’un partenariat multipartite entre un lycée français à l’étranger, une université française et des universités chiliennes, avec le soutien de l’entreprise GDF-Suez : « une des toutes premières réalisations des partenariats internationaux triangulaires d’enseignement supérieur, plus connus sous l’acronyme PITES. »

Une vingtaine d’étudiants français et sud-américains ont commencé à suivre ce cycle préparatoire en deux ans, à l’issue duquel ils pourront :

  • soit poursuivre leurs études en France, à l’UTC ou dans l’une des deux autres universités de technologie, situées à Troyes et à Belfort-Montbéliard,
  • soit étudier au Chili, une convention de reconnaissance du tronc commun ayant été signée avec quatre universités chiliennes partenaires (Universidad de Concepción, Universidad Técnica Federico Santa María, Universidad de Valparaíso, Pontificia Universidad Católica de Valparaíso).

Hélène Conway-Mouret a souligné que ce dispositif « sera certainement apprécié des parents chiliens qui craignent souvent de voir leurs enfants partir trop jeunes, à 18 ans, vers un pays lointain. » Le désignant comme « un modèle de coopération », la ministre déléguée a également fait valoir qu’il « permettra de conforter l’ambition internationale de nos entreprises en permettant la formation de leurs futurs cadres en Amérique du Sud. Les ingénieurs qui sortiront diplômés de ce cursus bénéficieront de compétences spécifiques qui permettront aux sociétés françaises d’avoir une meilleure approche de la culture et des marchés sud-américains. »

Mme Conway-Mouret a également plaidé pour la constitution de réseaux d’anciens élèves : « Il serait regrettable que des anciens élèves des lycées français, qui ont pensé en français au quotidien durant quinze années, voient le lien avec  notre pays lentement s’effilocher après l’obtention du baccalauréat » a-t-elle conclu.